Un conte réaliste et fantastique écrit et peint par Marcel Marceau, adapté pour la première fois au théâtre par Aurélia Marceau, pour fêter les 70 ans du personnage de BIP
LE RÉCIT
Dans l'Italie des années soixante, un mime des rues, Pimporello, recueille une jeune orpheline, Nina. Entre l'artiste vieillissant et désabusé et la petite fille triste et craintive va se nouer une relation filiale. Mais chacun des deux a menti à l'autre. Lui, pour éblouir l'enfant, s'est forgé un passé imaginaire et glorieux de clown génial. Elle, par peur de retourner à l'orphelinat, s'est inventé une famille. Cependant, la sincérité, la générosité, la tendresse des sentiments suffisent parfois à transformer mensonges en vérité, rêves en réalité.
De la littérature portugaise : notamment António Lobo Antunes (Christian Bourgois), Dulce Maria Cardoso (Stock), Gonçalo M. Tavares (Viviane Hamy), João Tordo (Actes Sud).
De la littérature brésilienne : João Paulo Cuenca (Cambourakis), Rubens Figueiredo (Books éditions), Michel Laub (Buchet-Chastel).
De la bande dessinée (Le Plus Mauvais Groupe du monde, de José Carlos Fernandes),
Des albums et romans pour la jeunesse : entre autres, deux titres de l’Angolais Ondjaki, des romans des Brésiliens Rodrigo Lacerda et Adriana Lisboa (éd. La Joie de Lire)…
De la littérature portugaise : notamment António Lobo Antunes (Christian Bourgois), Dulce Maria Cardoso (Stock), Gonçalo M. Tavares (Viviane Hamy), João Tordo (Actes Sud).
De la littérature brésilienne : João Paulo Cuenca (Cambourakis), Rubens Figueiredo (Books éditions), Michel Laub (Buchet-Chastel).
De la bande dessinée (Le Plus Mauvais Groupe du monde, de José Carlos Fernandes),
Des albums et romans pour la jeunesse : entre autres, deux titres de l’Angolais Ondjaki, des romans des Brésiliens Rodrigo Lacerda et Adriana Lisboa (éd. La Joie de Lire)…
Le poète anglais Shelley nous dit : « la poésie est un art mimique; elle mime ce que l’on ne voit pas. La vie humaine profonde ».
«N’oublions pas que le rire a toujours éveillé la méfiance de la bonne société. Celle du XVIIe siècle n'hésitait pas à condamner toute manifestation d’hilarité, y voyant tout à la fois un risque de subversion sociale et une manifestation de l'orgueil humain. C’était au temps de Molière.»